Dos au mur et sans secours , un AME s’en remet au chef de l’État et aux institutions de la République
( Urgence de prendre des actes supplémentaires pour rendre moins vulnérables cette catégorie d’enseignants aujourdhui incontournables dans le système éducatif)
L’école béninoise émerge de la gadoue et retrouve aujourd’hui ses lettres de noblesse, c’est une évidence. Ceci est rendu possible grâce aux nombreuses réformes du pouvoir de la rupture et de la volonté politique du président Patrice TALON dans le secteur pour repositionner l’enseignement et les pratiques enseignantes au Bénin parmi les modèles du monde et l’éducation béninoise sur le toit des pays de la sous région, et ça marche déjà.
Malheureusement, malgré tous ces efforts et les nombreux investissements personnels du chef de l’État et surtout des mesures sectorielles actées par le ministre de l’enseignement secondaire général qui visent à assainir le milieu scolaire et discipliner les acteurs indélicats, il existe toujours au sein de la communauté scolaire des brebis galeuses qui résistent aux réformes et ne sont pas encore résolus à rompre avec les pratiques anciennes qui ont, sous le régime défunt, plombé l’excellence et les rendements scolaires.
En la matière, le CEG DJÈRÈGBÉ dans le département de l’Ouémé où les acteurs se croyaient encore à l’abri des regards, s’illustre négativement très bien depuis quelques années à travers des scènes horriblement malsaines et des pratiques malveillantes de certains acteurs du monde scolaire avec la passive complicité du chef d’établissement d’alors et d’autres personnes compétentes à même d’arrêter la saignée ou de mettre de l’ordre.
À vrai dire, nous croyions arriver déjà au bout du tunnel après l”odieuse et dramatique épisode de OGA LARI Sévérin, le TOUT PUISSANT surveillant général à l’époque, reconnu coupable avec plusieurs preuves et témoignages des élèves et parents d’élèves pour sa libido hors gabarit et sa série d’abus sexuels sur les apprenantes et dont l’affaire plusieurs fois portées au commissariat, échoue plus tard au tribunal de première instance de Porto Novo puis à la CRIET que malheureusement certains ennemis de la République tentent de noyer. On va y revenir, à coups sûrs avec plus de précisions dans notre prochain numéro pour que justice soit faite aux âmes innocentes et aux nombreux parents qui avaient été escroqués par cet individu méprisable et nuisible à l’épanouissement des scolaires.
Malheureusement après le départ forcé de ce délinquant sexuel qui se retrouve aujourd’hui aux dernières nouvelles au CEG AVAKPA , s’installe un autre prédateur sexuel. Lui, il s’appelle MOUSTAPHA Franck. À la différence du premier, il est est censeur , champion toute catégorie confondue, il bat tous les records dans la pratique du harcèlement sexuel et jette son dévolu sur la gent féminine au sein du personnel enseignant.
La preuve, dans la plainte formulée contre lui auprès du président de la République et dans plusieurs autres institutions compétentes, le plaignant précise avec des indications claires qu’il a été délogé sans trompette du CEG LES COCOTIERS à Porto Novo où il exerçait précédemment en tant que censeur pour faits de harcèlement et pour avoir osé toucher aux fesses d’une dame enseignante mariée , ce qui lui avait valu des raclées bien assénées de l’enseignante.
Au CEG DJRÈGBÉ où il a été muté depuis 2022 après son forfait à Porto Novo, le prédateur sexuel harcèle et détourne une aspirante au métier d’enseignement marié à un AME et tous vivant sous le même toit selon la plainte ci après.
Contacté par le sieur Christian HOUSSOU le mari cocu, votre web media AFRIQUE MÉDIA a aussitôt entrepris quelques démarches professionnelles.
En attendant de vous revenir sur l’entièreté des recoupements faits çà et là et auprès des mis en cause, nous affirmons que l’infraction HARCÈLEMENT SEXUEL sur l’enseignante est bien réelle puisqu’elle nous l’a avoué elle même au telephone lorsque nous l’avions eue. En plus de cet aveu, des audios de même que des messages écrits existent.
Ce qui est ahurissant et qui pourrait paraître choquant et même révoltant c’est lorsqu’il existe un noyau dure, un duo inamovible au sein du collège qui préte mains fortes à ce censeur. Il s’agit de KOUDOKODJI Emile, délégué du personnel enseignant et un autre autre au nom de HESSOU Paulin, un misérable qui passe pour syndicaliste .
Selon nos recoupements, ce sont eux qui auraient exercé des pressions sur la pauvre dame déjà sous le toit d’un collègue à céder à la pression du censeur, un polygame sac au dos si non elle risque de perdre ses heures.
C’est pourquoi il urge aujourd’hui de prendre des actes supplémentaires pour rendre moins vulnérables cette catégorie d’enseignants incontournables dans le système éducatif au Bénin
(Lisez ci contre l’intégralité de la pathétique plainte du sieur Christian HOUSSOU professeur AME des PCT au CEG DJRÈGBÉ )
Porto-Novo, le mercredi
18 septembre 2024
À Monsieur Le Président de la République
Objet : dénonciation de la barbarie sexuelle et de détournement de femme d’un AME du sieur MOUSTAPHA Alabi Franck, l’actuel Censeur au CEG DJEREGBE
Monsieur Le Président de la République,
J’ai l’honneur de porter à votre connaissance la situation qui prévaut au CEG Djèrègbé depuis des années. Ma seule motivation est de faire arrêter le cynisme d’un groupuscule actif dans ce collège et d’aider à sauver des âmes innocentes de la communauté scolaire de Djèrègbé dont je fais partie.
En effet, ledit groupuscule fonctionne en bande organisée dont le Censeur principal MOUSTAPHA Alabi Franck est devenu un acteur clé, renforçant ainsi les autres renégats venus d’autres Etablissements coalisés en prédateurs sexuels de femmes enseignantes quoique mariées et surtout des élèves filles en base âge.
MOUSTAPHA Alabi, précédemment en service au CEG les Cocotiers il y a quelques années, a été muté positivement pour le CEG DJÈRÈGBÉ à la suite d’une affaire de délit sexuel au CEG Les Cocotiers. Dépité par son harcelement infructueux sur la personne d’une jeune enseignante d’anglais au CEG Les Cocotiers, il aurait fait un forcing sur cette dernière et profiter pour lui caresser les fesses. La dame lui répliqua donc par une gifle bien appliquée. Cette dernière l’aurait giflé. Son envoi au CEG Djeregbe depuis trois (03) ans n’a fait que renforcer les sévices de cette bande de déréglés qui se croient tout permis surtout qu’ils sont impliquéées dans la gestion quotienne de l’etablissement en tant representants des enseignants, mandat qu’ils obtiennent en toute opacité avec la complicité de l’administration scolaire qui y trouve l’opportunité d’un deal leur garantissant un sejour paisible avec ces pseudos representnants ou syndicalistes.A son arrivé au collège, mon épouse était la première proie qu’il a ciblée et, cette dernière n’a plus la paix du cœur au service ni dans son foyer à cause du harcelement permanent de du censeur MOUSTAPHA et des pressions venant de ses complices.Il lui envoie des messages qu’on ne doit pas envoyer une femme mariée dont je détiens les preuves.Il est allé jusqu’à dire à ma femme le 14 septembre 2022 qu’il va coucher avec elle sans que je ne le sache et ceci sera gardé comme un secret professionnel. Mon épouse me narrait tout au fur et à mesure. Il envoie des messages d’harcèlement ne sachant pas que le portable est dans mes mains. La pression est devenue insoutenable au point où je me suis rapproché du Directeur d’alors, Monsieur Inoussa HOVO désormais en service au CEG Ekpe, pour le tenir informé des faits avec les preuves. Le Directeur n’a pas pu faire grande chose par peur de perdre les grâces du groupuscule lui accordant les coudés franches d’une gestion opaque et aventurière au prix de sacrifier le reste du personnel et les âmes innocentes de notre communauté scolaire. La seule chose qu’il avait fait est l’assise qu’on avait fait après le conseil de fin d’année de l’année scolaire 2022-2023. Etaient présents à l’assise, l’ex directeur M. Inoussa HOVO, l’actuel SG monsieur MIGNIGBETO Louis et moi-même. Au cours des échanges après introduction du sujet, le sieur MOUSTAPHA disait devant sa hiérarchie qu’il n’a rien de spécial avec mon épouse me demandant donc de mettre à l’aise en prenant soins de mon épouse .En ce moment, mon épouse était déja enceinte de moi et son accouchement ne restait que quelques semaines.Bien avant l’assise avec le directeur, ma belle mère avait fait une rencontre avec le sieur Franck MOUSTAPHA afin d’être impraignée sur l’affaire concernant sa fille et lui.Du retour de la rencontre, la belle-mère a subitement changé d’attitude envers moi car le Sieur MOUSTAPHA Franck lui aurait fait une promesse qui sera élucidée bientôt. Et depuis cette rencontre mystérieuse avec ma belle-mère, je ne suis plus en odeur de sainteté avec ma belle famille. Mon statut d’un simple Aspirant au Métier d’Enseignant (AME) comparé à un Censuer tout puissant, autorité de son état, n’a pas tardé à produire ses effets puisque mon épouse a fini par quitter le foyer conjugual et a rejoins ses parents à six (06) semaines de l’accouchement. Bien qu’ayant rejoins ses parents sans mon consentement ni mobile explicitement exprimée, j’ai toujours joué mes responsabilités.J’ai parlé de groupuscule plus haut parce que le Syndicaliste HESSOU paulin et KOUDOKODJI Émile ont aussi de responsabilité dans cette affaire.M. HESSOU Paulin aurait dit à mon épouse que si elle refuse de coucher avec Franck, elle sera mutée très loin l’année scolaire 2023-2024. La commande de la mutation de mon épouse lui avait marché mais heureusement, l’autorité centrale avait plutot envoyé mon épouse au CEG 1 EKPE. Malheureusement, elle n’a pu trouver la totalité de ses heures de cours au CGE1 Ekpe et elle était obligée de revenir à Djeregbe pour complement d’heures de cours d’où le chantage du groupuscule qui a sorti le joker pour achever leur proie une fois qu’elle est revenue. Tout portrait à croire que mon épouse commencait à etre depassée par la situation devenue hautement stressante et anxieuse et aurait cédé pour sauver son emploi car elle n’est que AME comme moi. Et c’est le point de bascule dans notre foyer. N’étant plus à Djeregbe, je m’étais connecté à la page Facebook de mon épouse le lundi 03 Octobre 2023 un après midi où le Censeur Moustapha envoyait des messages érotiques et traumatisants ne sachant pas que j’étais derrière le clavier. C’est comme ça que Dieu m’a révélé les faits. Je suis allé montrer ces écrits au Directeur Inoussa HOVO à Tokpota dans sa maison et le directeur a failli couler les larmes! Il convient de préciser que mon épouse venait d’accoucher il y a deux mois et demie.Monsieur le Président, c’est un dossier lourd impliquant beaucoup de personnes. Monsieur le Président, le sieur MOUSTAPHA Alain Franck m’avait menacé de mort. Il disait un samedi en me serrant la main <> Et je lui demanda ce qu’il essayait d’insinuer avec cet adage qu’il venait d’employer et, il n’a pipé mot.Le 15 décembre 2023, j’avais adressé une convocation de la police républicaine au sieur MOUSTAPHA Alabi Franck enregistré sous nº-1996/23 DJEREGBE pour la menace de mort qu’il m’avait proférée.L’OPJ AGON avait écouté le sieur MOUSTAPHA, mon épouse et moi-même.Le dossier a été référé le 08 janvier 2024 où le premier substitut de la République a géré en écoutant les uns et les autres. A la fin du procès le sieur MOUSTAPHA a été mis sous convocation ainsi que moi-même. Je joins à ma lettre le papier délivré par le procureur de la République.J’ai été ridiculisé entre mes collègues puisque le pseudo syndicaliste HESSOU Paulin était parti dire SG Thierry DOVONOU que mon enfant sur qui j’ai dépensé depuis la grossesse jusqu’à l’accouchement n’est pas mon enfant. Que des tests de partenité pour détecter le vrai géniteur de l’enfant sont en cours.Le plus ahurissant, le lundi 16 septembre 2024, le Censeur Frank MOUSTAPHA décide de diminuer mes heures de cours afin de me faire courir de college en college et finir par me faire perdre à terme mon emploi, alors que je suis l’AME le plus ancient du college parmi les onze (11) AME du college.Monsieur le Président de la République, je ne pourrai pas tout dire, veuillez m’aider à sortir de cette situation douleureuse. Je ne suis qu’un jeune parmi eux. Ils sont plus que des loups.
Personnes impliquées dans l’affaire :
LOGBO Lucie Edwige (belle-mère), numéro 97 268917
AHISSOU Grâce (belle-sœur), numéro 42 359591
LIGAN Prisca, professeur au CEG Les Cocotiers 96 912542
AHISSOU Ghislaine, numéro 54 271788
HOVO Inoussa l’ex directeur, numéro 97 187635
MOUSTAPHA A.Franck, numéro 97 688721/ 94 313300
ADOUNME Dominique “agent complice de harcelement”, numéro 97 039932
HESSOU Paulin, numéros 96 350780/ 95 719584
OGA-LARI Séverin, numéros 97 469057/ 95 815755
KOUDOKODJI Émile, numéros 97 579828/ 95 579757
a signé
Christian HOUSSOU,
Professeur de PCT au CEG Djèrègbé (66 150983/96 859894)
Ampliations:
Institut National de la Femme;
Cour de Repression des Infractions Economiques et du Terrorisme (CRIET);
Ministère de la Justice, de la legislation et des droits de l’homme;
Agence Nationale de la promotion de l’Emploi (ANPE);
Ministère des Enseignements Secondaires (MESTFP).
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